vendredi 25 avril 2014

Oligomonarchie et globules rouges

Nous fûmes châtiés 413 années par douze Rois, tous candidats de droit divin (non-élus, adeptes de Chouard ?).
Offrant à chacun de ces personnages de notre Histoire commune 34 années de gouvernance en moyenne.
On finit, avec raison et son pesant de fourches et de bâtons, par les étêter en place République.
Que n'a-t-on découper une épaule de Chirac ? Taillader un tibia à Sarkozy ? Couper les doigts de la main gauche à Hollande ?
Deux poids, deux mesures ...

dimanche 20 avril 2014

Renverser l'Ordre Capitaliste, ne sera pas un pique-nique ...

Sur l'idée Révolutionnaire, qui à trop se retourner dans sa tombe, devait finir par enfin en sortir.
Un éclairage bien dérangeant, du style "Pourquoi ça ne viendra pas" ... C'est assez détestable !
Brillant ! Comdab c'est du Lordon. En rouge et noir, comme on l'aime chez les gens de peu.

samedi 19 avril 2014

Quand LENAR chie, c'est pas que dans l'Ecole ...

Telle était définitivement la grande question de ce début de XXI ème siècle ... Comment expliquer de manière très rationnelle et en évitant toute théorie fumeuse et/ou complotiste, qu'ils puissent entrer en cette Ecole Nationale d'Administration bardés d'autant de vertus scolaires que l'on puisse se l'imaginer depuis le fond de la classe et de non moins de prédispositions génétiques à gouverner le petit Peuple effrayé, ébloui et désorienté, pour en sortir systématiquement, qu'ils se prétendent de gauche ou se revendiquent de droite, avec le QI du peigne en bois de Christine Lagarde ?

D'autres préféraient à la même période, se concentrer sur Kepler-186f, qui regorgerait, de vastes étendues sans élu ...
Mais ça restait très hypothétique et la NASA préparait une sonde. La NSA aussi du reste, mais bien plus grosse.

mardi 15 avril 2014

Il est dans les mers étrangè-res ...

Comprend mieux, qui bien bourré, connait la funeste chanson sublime ...


"Et comme on n'est pas sûr de vivre, il faut savoir en profiter, en profiter (bisser très fort, le verre bien haut).
Mais après tout, qu'est-ce-qu'on s'en fout, qu'est-ce-qu'on s'en fout ... tralalala
Après une plongée rapide, tu auras cessé de vivre, à mille mètres au fond des mers, ce sera ton cimetiè - RE ..."

J'ai peur, si elles l'apprenaient par cœur, en chialant les hectolitres de bières associés suivant la sous-marine tradition,
qu'elles risquent de se lâcher grave les Filles, non ? Ce qui, je l'entend bien du PC Radio, doit passer au dessus du pompon
de l'énarque eunuque sous-secrétaire, inéluctablement basé à Terre. Qui devrait péter son matricule ...

Très inquiétant à d'autres titres (qu'on ne trouve pas dans le BO).
Essentiellement pour ce jeune mataf mâle en pleine croissance, qu'on va définitivement castrer.
Quand ne lui restera plus, que la Liche ..

samedi 12 avril 2014

Au Kazou ...

Avril 2014 semble une bonne saison, pour dater quelques certitudes à coup d'octets dans le marbre.
Mes Enfants sont de prodigieuses merveilles qui comblent vraiment mon enchantement chaque jour,
ma vie professionnelle est incroyablement passionnante depuis trois décennies et reste prometteuse,
belle Dame Nature peut m'agenouiller à n'importe quel instant en de longues phases contemplatives,
la totalité de mon entourage au sens large, c'est la moitié des doigts de la main d'un ancien fraiseur,
ma Vie est réellement un Printemps permanent, où éclosent à foison des milliards d'étoiles ...

Etait-il possible de taire encore longtemps, ces faits ? Je ne pouvais raisonnablement m'y résoudre.
Seule une empathie issue de longs parcours de traverses me poussera néanmoins ici à m'excuser
auprès des nantis, de toute cette surabondance de bienfaits qui sur ma pomme se sont accumulés
sans jamais réveiller ma trésorerie en salle de réa, génétiquement déficiente depuis ses origines ...

samedi 15 mars 2014

"Hey, what did you expect ?"

Uma !?!
Tu croyais vraiment qu'on allait laisser les Glaouches se fader le tournoi des 6 Nations ?
 
Smoke !
 I beg your pardon, so Dear, drink.
First.

mardi 4 mars 2014

Alors parce que, voilà pourquoi ...

"Il est affreux pourtant d’avoir vécu puis de mourir sans que subsiste la moindre trace écrite de ce que nous fûmes, de ce que fut notre conscience unique, comment elle se forma puis se transforma, comment lui apparut le monde, comment elle s’en accommoda ..."
E. Chevillard.

Ce héros de la blogosphère littéraire répondait en partie à la troisième question azertystentielle
d'un pauvre ciseleur d'octets communs : "Qui suis-je ? Ou vais-je ? Et pourquoi donc ici, écris-je ?".

Il y avait dans cette quête d'immortalité 2.0, une résurgence à la fois cosmique et tropicale, ne m'ayant plus quitté depuis une prise de voie lactée en pleine courge, un soir d'Avril sur une plage déserte du pacifique à fleur de peau et de sable tiède la tête posée sur le ventre tendu de Marisol. Y poco de Ron, claro.

Issue de l'espace, une voix m'intimait dorénavant avec gravité de poursuivre le préhistorique chantier, que l'équipe du matin (ceux des cavernes et des cités lacustres) avait il y a longtemps commencé, la longue marche en avant de l'humanité.

Il fallait pour s'insérer dans le cycle de la Vie éternelle, non seulement se reproduire c'était essentiel, mais surtout donner toutes les chances de survie à sa progéniture, par de grandes citations, ou par des proverbes archivérifiables ou par des vers de Reggiani, aidant les Pères à mieux dire les choses, à venir.

Faire égoïstement perdurer ses gênes au-delà de l'espace temps, en imposant à coups de petites histoires sa propre descendance à l'Univers, rien de moins. Je rentrais donc ici au milieu des grands Hommes, conter tout ce qu'eux n'avaient pas pu voir. Forcément ...

Il sera donc des fois où, mes si chers Enfants ...